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Pêche à la mouche en Estrie

Pêche à la mouche en Estrie
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31 mars 2007

L'Achigan à petite bouche

Kellywatson

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Achigan à Petite Bouche

Description générale

Membre de la famille des centrarchidés, l’achigan à petite bouche présente les caractéristiques suivantes :

  • corps robuste et latéralement comprimé;
  • grosse tête allongée ornée de barres foncées rayonnant vers l’arrière à partir des yeux;
  • museau long et arrondi dont la mâchoire inférieure est légèrement plus longue que l’autre;
  • deux nageoires dorsales liées qui semblent en former une seule;
  • l’arrière et le dessus de la tête sont d’une couleur qui varie du brun ou du brun doré au vert olive ou au vert;
  • les flancs sont plus pâles et plus dorés que le dos, des mouchetures dorées ornant la plupart des écailles, et sont marqués de 8 à 15 minces barres verticales d’aspect prononcé ou vague;
  • la couleur du ventre varie du crème au blanc de lait;
  • les nageoires pectorales sont transparentes et les autres, opaques, foncées ou ambrées et ornées de noir sur les rayons, les épines ou les membranes;
  • la couleur du corps varie selon la taille, l’état et l’habitat : en eaux limpides, la coloration est foncée et rehaussée de marques contrastantes prononcées, tandis qu’en eaux turbides, la coloration est plus pâle et caractérisée par des marques vagues.

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Distribution :

L’achigan à petite bouche est un poisson d’eau douce indigène des lacs et des cours d’eau du Centre-Est de l’Amérique du Nord. Au Canada, il est observé dans le Sud de la Nouvelle-Écosse, dans le Sud et l’Ouest du Nouveau-Brunswick, dans le Sud du Québec, en Ontario, à la hauteur de Timmins, au Manitoba à l’extrémité sud du lac Winnipeg, dans le centre de la Saskatchewan, dans le bassin hydrographique du Columbia, dans l’Est de la Colombie-Britannique, ainsi que dans l’Île de Saltspring et le Sud de l’Île de Vancouver.

Habitat et cycle biologique

L’achigan à petite bouche est un poisson d’eaux chaudes ordinairement observé à profondeur moyenne dans les zones à fond rocheux ou sableux des lacs et des cours d’eau ainsi qu’à proximité de rochers de hauts-fonds ou de grumes submergées. Il affectionne moins les eaux densément végétalisées que l’achigan à grande bouche. Le frai a lieu à la fin du printemps et au début de l’été, ordinairement de la fin mai au début juillet. Le mâle construit le nid à une profondeur de 61 à 610 cm (2 à 20 pi), sur un fond lacustre ou fluvial sableux, graveleux ou rocheux, ordinairement à l’abri de rochers ou de grumes. Une fois le frai accompli, le mâle garde le nid et fait circuler l’eau sur les œufs. Ceux-ci éclosent au bout de 4 à 10 jours, produisant des alevins d’environ 5,6 à 5,9 mm de longueur. Les alevins commencent à quitter le nid 5 à 7 jours plus tard, mais restent encore plusieurs jours sous la garde du mâle.

Habitudes alimentaires

Le régime alimentaire de l’achigan à petite bouche se compose surtout d’insectes, d’écrevisses et de poisson. Ces diverses proies sont capturées à la surface, dans la tranche d’eau et sur le fond.

Importance économique

L’achigan à petite bouche présente un grand intérêt commercial, récréatif et sportif. Dans l’Est du Canada, il s’agit d’une des espèces les plus importantes pour le secteur de la pêche sportive et des activités touristiques connexes.

Excellent poisson de consommation, l’achigan à petite bouche est commercialisé à l’état frais et congelé.

Notes

La famille des centrarchidés comprend certains des poissons d’eaux chaudes les plus colorés et attrayants de l’Amérique du Nord.

Dans la nature, l’achigan à petite bouche se croise avec l’achigan tacheté.

Voici quelques mouches pour l'Achigan

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La Rabbit Hair Cone Head

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  La Neptune

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                          La Wolly buger                                    

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                   Bass Bug  

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                                   Streamers            

                                                      

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9 février 2007

Le coq de Sonnerat, ou jungle cock est originaire

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Le coq de Sonnerat, ou jungle cock est originaire du centre de l'Inde, où il vit toujours à l'état sauvage, bien qu'il soit dans la liste des espèces en danger (Liste rouge du CITES 1996) , leur nombre est encore important, il s'est bien adapté à la présence des humains et les pronostics de survie sont très bons. Son élevage en Europe est possible (en Angleterre depuis plus d'un siècle) et ne pose pas de difficultés particulières.
   Les plumes les plus recherchées sont celles qui ornent le cou, leurs motifs et leurs colorations sont uniques. Elles sont très utilisées dans les mouches à saumon et certains streamers, elles permettent de représenter les yeux d'alevins et donnent une attraction particulière à la mouche. Cependant leur prix en fait hésiter plus d'un!

Avant de choisir des plumes ou un cou de jungle cock, considérer l'usage que vous voulez en faire: mouches de pêche ou mouches de présentation? Pour les premières des plumes de moindre qualité, grade B ou C suffisent, pour les autres prendre des cous de qualité A ou mieux.
Ci-contre un cou qualité A :  Les critères de choix sont les suivants par priorité:

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  Coloration :  les "yeux" doivent être jaune profond à jaune orange et doivent avoir un vernis naturel . Si la couleur est délavée, blanchâtre, vous pouvez la retoucher avec des marqueurs permanent de couleur jaune orange à orange. 

Quantité: La quantité de plumes avec la bonne coloration, peu ou pas de fentes font la valeur d'un cou.

  Fentes: Apparaissent surtout à la base du cou, ces plumes peuvent être utilisées pour la pêche, on peut les réparer avec un peu de vernis, mais elles restent fragiles.

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8 février 2007

LAQUAICHE Nom latin: Hiodontidae Nom anglais:

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LAQUAICHE Nom latin: Hiodontidae Nom anglais: Mooneyes.   Il existe trois catégories de Laquaiche: la Laquaiche argentée, la Laquaiche aux yeux d'or, et la Laquaiche du Sud (des États-Unis). Beaucoup de noms différents ont été prêtés à la laquaiche au fil des ans. Au Québec, on l'appelle "hareng d'eau douce" ou "tarpon d'eau douce", à cause de sa forme et de sa couleur argentée. On l'appelle aussi "gros yeux", un nom qui lui va à merveille...et qui est typiquement québécois. Les espèces qu'on retrouve au Québec sont : la laquaiche argentée que l'on retrouve dans les eaux des environs de Montréal, et la laquaiche aux yeux d'or que l'on retrouve en Abitibi, ainsi qu'en Ontario et au Manitoba ( Winnipeg goldeye ). Dans le sud des États-Unis, on l'appelle "mooneye" ou "toothed herring". On ne retrouve pas cette espèce au Québec. La laquaiche peut atteindre jusqu'à 15 pouces de longueur et deux livres de pesanteur. Elle a de nombreuses écailles, a une forme ronde et aplatie, et ressemble beaucoup à l'alose. Elle se nourrit de larves, de nymphes, d'insectes, de vers et surtout de petits ménés. Mais comme elle recherche plutôt sa nourriture à la surface, il est plus intéressant de la pêcher à la mouche. Les mouches sèches très petites et de couleur moyennement foncée sont très efficaces, alors que les petites "silver doctor" et "brown hackle" sont des mouches noyées recommandées. Si prendre une Laquaiche ( quand on la trouve ! ) est relativement facile, la rentrer sans la perdre est une toute autre histoire, puisque la Laquaiche est un poisson batailleur et a une toute petite gueule très fragile. La laquaiche fraye à partir de mai jusqu'à la première semaine de juillet. Malheureusement, la pollution des eaux est la principale raison de sa quasi-disparition. Si vous en prenez une relachez-la. Sachez de toute façon que ce poisson n'offre pas une chair très savoureuse et est bourré d'arêtes. Mais consolez-vous pêcheurs sportifs, car vous aurez droit à de fortes émotions! 

Références Produits Uni

14 octobre 2006

Vérification de l’équipement à l’approche de la

Vérification de l’équipement à l’approche de la nouvelle saison.

Texte » Raymond Paris

Pour l’approche de la nouvelle saison il est important de vérifiez son équipement, car il y a souvent de la négligence des pêcheurs envers ceci.

Bas de ligne

Vérifiez vos bas de ligne. Depuis combien longtemps sont-ils fait ?  Ont-ils été à l’humidité ?  Moi pour ma part je n’en fait jamais beaucoup d’avance, j’aime mieux les fabriqué au fur et à mesure. Ceux que je fabrique sont fait de façon de pouvoir changer le tippet sans tout me débarrasser de l’avançon.  Je fait mes tippet loop to loop, et quand il est rendu trop cour, je change pour un nouveau.

Connecteurs

Il faut aussi que vous vérifiez vos connecteurs. Depuis quand sont-ils fait ? Même si vos connecteurs son montez avec soit avec du 20 ou 30 Lbs test, il n’est pas dit qu’ils ne lâcherons pas. Les monofilaments ne sont pas éternel. Et que dire des fameuses gaines tressées. Tout connecteur devrait être changer au moins au deux ans.

Soies

Regardez si vos soies ont des signes de fatigue. Si vous remarquer que votre soie reste sale même quand vous la nettoyez, approchez vous et souvent vous remarquerez des petites craquelures. Donc à ce moment il faut la changer, car elle va limez à son tour les anneaux de votre canne.

Canne

Pour l’entretien de la canne, il faut vérifiez les ferrules pour voir s’il n’ont pas été forcées. Aussi il faut y mettre de la cire pour ne pas usé le fini de la canne et aussi prévenir l’usure de celle-ci. Vérifiez vos anneaux en glissant un morceau de bas de nylon à l’intérieur de ceux-ci, pour voir si tout glisse bien. Si votre nylon accroche en le glissant dans les anneaux, il faut voir à les changez, car cela endommagera votre soie.

Moulinets

Pour ce qui est des moulinets, ils faut bien les lubrifiez et vérifiez les vis s’il y en a. Moi je graisse les shafts de mes moulinets avec de la graisse au teflon haute température mais il se vend sur le marché de très bonne graisse conçu à cet effet.

                                                Bonne Pêche

5 juin 2006

Tous les rivières à truite trop souvent connus

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Tous les rivières à truite trop souvent connus sont juste hors de portée pour la plupart d'entre nous; ou bien trop loin, ou bien trop exclusif. .  Ses rivières rendues publiques causent souvent un rassemblement de masses de pêcheurs de tous les coins. Un voyage de week-end peut de temps en temps être une réalité, mais pêchant ces endroits sur une base régulière ne semble pas justement une option  réalisable. Mais pourquoi s’en soucier ? Capitalisant sur la truite dans plus petit cours d’eau un peu plus communs peut être beaucoup plus accessible.

Des petits ruisseau, inaperçus sur des terres agricoles, des forêts et des contreforts contiennent souvent de la truite. Tant que les températures de l’eau des ruisseaux sont assez froides pour supporter la truite, plus vous aurez des chances de les trouver. D'autres facteurs comme PH, et la disponibilité d'alimentation et l'habitat du poisson jouera aussi un rôle important dans la fertilité du ruisseau. . Tandis que vous pourrez faire la reconnaissance pour des endroits possibles ou la truite pourrait se tenir ( ex. Arbres surplombants ). Plus le cours d’eau est étroit et profond plus vous aurez la chance de trouver de la truite. J'ai personnellement été témoin de ruisseaux, pas plus large que 4 pieds avoir de bonne quantité de truites.

La plupart du temps les populations de truite de ruisseau sont souvent à moins d'une heure d'un centre urbain.  Parfois la meilleure façon de trouver ces gemmes cachées est de disposer d’une carte topographique et de rechercher un peu des voies navigables et des endroits qui semblent regardez prometteur.  L'approche des petits ruisseaux est différente des plus grandes rivières. Par des espaces limités appellent aux capacités de pêche à la mouche, les techniques sont loin d’être supérieures à ceux employés sur les grand cours d’eau . Un lancer de 50 pieds sera pratiquement un exploit . Au lieu de cela, vous aurez souvent à faire des lancers rouler qui seront plus souvent la norme.  Les branches de sapin, les buissons d'épine et les pins tombés ajoutent au désordre sous lequel la truite se cache.  Pour pêcher un tel environnement avec succès il vous faut d'abord projeter une approche avec ruse.   Par exemple, dans le déplacement de l'eau meilleurs sont les approches faits d'une position en amont, tandis que dérivant des nymphes, sèchent, ou terrestres est beaucoup plus facile et plus efficace d'une position aval. Beaucoup de guides et livres déclarent que la pêche à la mouche dans les rivières, ou les ruisseaux donc le meilleur lancer sera fait en amont, cependant ces instructions sont souvent adaptées pour de plus grand espaces.   La truite semble plus favorable à fréquenter les petit ruisseaux qu'aux grande rivière . Autrement dit, si vous savez le quel genre de cours d'eau regarder pour la truite il est plus facile de trouver dans de petits ruisseaux que dans d'autres types de plus grandes eaux, donnant  un bonus au petit pêcheur de ruisseaux.  L'acquisition de l'habileté ou la compétence de trouver la truite dans ces petits cours d'eau est une valeur qui peut être transmissible aux rivières.

Le choix de mouche peut être clef à un voyage couronné de succès .  Le type, la taille et la couleur de la mouche peuvent signifier une bonne pêche ou une sortie décevante qui vous laissera doutant si la truite peuple même le secteur.  En pêchant des eaux peu familières, il est le meilleur de persévérer dans des mouches plus petites et traditionnelles avant que vous n'obteniez un certain succès. Des nymphes populaires, comme la Gold ribbeb hare ears, est excellente. Les soft hackles, fait de perdrix et d’un corps orange, peuvent être très suprenantes. Ou, si votre sortie arrive pendant une éclosion; attachant une mouche sèche en faisant un lancer rouler peut se couronné d’un succès. Attendez-vous d’attraper des poissons plus petit d'abord, cependant une fois que vous aurez obtenu un certain sens que vous pourrez  trouver les plus grosses.   N'ayez pas peur pour modifier votre approche. Si la truite est présente, rechercher les endroits qui sont ombragés.  Si vous pouvez vous pourrez revenir au crépuscule, le retour au trou prometteur avec une mouche de plus grande taille, il se pourrait que vous ayez des surprises. 

Une fois que le soleil est en bas les truites sortent de la dissimulation et commencent à s’alimenter. Il est plus facile de déjouer la truite à ce moment. Il n’est pas rare de voir les truites s’emparer des vairons ou des éphémères qui se promènent près de la surface.

Au point de vu de l’équipement, il vous faudra une canne plus courte et plus légère. Oublier les cannes de 9 pieds et aller y plutôt une de 7 à 8 pieds maximum et dans les soies de 3 à 5. Comme la plupart des ruisseaux sont petits, vous n’aurez pas vraiment à faire de long lancers. Munissez vous plutôt de soies à double fuseaux pour une meilleur présentation, et si vous voulez faire descendre votre mouche plus profondément munissez vous de petits plombs en étain.


Malheureusement, beaucoup de petits ruisseaux de truite passent aujourd'hui sur des terrains privés et des fermes.  Vérifiez s'il vous plaît avec le propriétaire du terrain et demandez la permission avant de pêcher .  Beaucoup de propriétaires de terre sont heureux d'accorder l'accès à leur propriété tant qu'ils estiment assurés que rien ne sera endommagé.

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28 mai 2006

Pêche à la mouche Les principales rivières des

Pêche à la mouche

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Les principales rivières des Cantons de l’est

Les Cantons de l’est regorgent de très belles rivières, mais beaucoup d’entre elles sont presque absentes d’espèces sportive, et la plupart sont peuplées de carpes et de ouitouches. Elles ont été surpêchées par des gens insouciant, qui ne pensaient jamais en épuiser la ressource. Malgré cela il reste quelques rivières avec encore un potentiel modeste qu’il faut s’empresser de préservées.

Il n’y a presque plus d’espèces de salmonidés  indigènes comme la truite mouchetée, à cause de l’introduction d’autres espèces; et celle que l’on retrouvent aujourd’hui proviennent d’ensemencements. La truite arc-en-ciel et la truite brune font parties des espèces qui ont été introduites. L’arc-en-ciel est celle qui est la plus vulnérable des deux, et la moins rentable à cause de son instabilité à rester dans le plan d’eau. Elle n’est pas très difficile à déjouer, mais elle donne tout un combat quand elle se fait prendre. Par contre la truite brune, elle est plus méfiante et moins facile à déjouer donc elle a une plus grande chance de survie. Elle ne semble pas avoir du mal à se reproduire, car on retrouve souvent des jeunes individus au endroits ou ils n’y a plus eu d’ensemencement depuis plusieurs années. Elle est moins sensible au écart de températures et à la pollution, tandis que l’arc-en-ciel est un peu plus migratrice. La plupart des endroits qui ont été ensemencés avec de la truite arc-en-ciel s’en trouvent dépourvues dès l’année suivante. Il n’est pas de même pour la brune qui elle a tendance à s’implanter à l’endroit ou elle à été ensemencée.

Les rivières avec le meilleur potentiel de pêche sont incontestablement les plus grosses, comme la St-François et la Chaudière. Il y en a d’autres comme la Massawipi et la Saumon ( Lac Brompton ) qui sont très bonnes toute l’année, et les autres comme la Coaticook et la Magog le sont par le soutien d’ensemencements.

Quelles espèces y retrouvent-on ?

Parlons de la St-François. Si on part à sa source, la St-François est habité par la truite brune et la ouananiche que l’on retrouve en bien petit nombre. Mais se n’est pas le cas pour la truite brune qui hante cette rivière tout le long du parcours jusqu’au Lac Aylmer. Il y a aussi le Doré jaune et l’achigan se merveilleux batailleur. À l’occasion  un brochet du nord , mais souvent dans la section près du Lac Aylmer. On poursuit notre parcours entre le Lac Aylmer et le Lac Louise. À cet endroit on y retrouvent le Doré jaune et le brochet et aussi la perchaude. Maintenant nous sommes entre la ville d’East Angus et Sherbrooke, ou il y a de très beau endroits pour la pêche à l’achigan, pour les gens qui voudraient y faire une expédition en embarcation. Dans la région de Sherbrooke on y capture de la truite brune près de l’île Marie ou il se fait des ensemencements à tout les ans, et aussi à la jonction St-François et Magog. L’achigan est roi tout le long de cette rivière et on y capture de très beaux spécimens.

Maintenant parlons de la Chaudière. Pour moi la Chaudière représente la plus belle rivière à salmonidés. Nous y avons, la truite brune, l’arc-en-ciel, la mouchetée et la ouananiche, et cela tout le parcours au delà de la Beauce, car la Chaudière a une infime partie dans les Cantons de l’est.  J’ai connu cette rivière étant très productive, mais mes meilleurs endroits son entre Lac Mégantic et le chemin du Lac Drolet.

La Massawipi

Pour une rivière située près de Sherbrooke la Massawipi est très surprenante. C’est une superbe de belle rivière, mais très achalander par les pêcheurs du début de saison. Mais quand la saison avance les pêcheurs la délaissent. Tant que le niveau de l’eau se tien haut, elle est presque inaccessible pour les pêcheurs à la mouche. Ce cours d’eau contient d’aussi beaux spécimens que la Chaudière et la Haute St-François quand on parle de truite brune. J’y ai pris en mai 1989 une truite brune de 14 lbs 4 oz .  On y retrouvent aussi de très grosses truites grises et des truites arc-en-ciel, il y a de la truite mouchetée en rares occasions, et bien sûr l’achigan à petite bouche. Plus bas dans son parcours le Doré et le brochet sont les espèces qui occupent la Massawipi et ça jusqu’à la St-François.

La Rivière au Saumon

La rivière au saumon est l’effluent du grand lac Brompton. Elle prend sa source sur près de route 222 à la hauteur de St-François de Xavier et elle se jette ensuite près de l’autoroute 55 entre Windsor et Richmond. Dès l’ouverture de la pêche la rivière au saumon et habité par la truite grise à cause des l’éperlans qui dévalent le barrage tôt le printemps. Mais celle-ci ne peuvent remonter et reste dans la rivière pour y vivre toute l’année, tout comme pour la Massawipi. Il y a aussi la présence de truites arc-en-ciel, et brune a cause de certains ensemencement antérieurs. Comme dans presque tout les cours d’eau, l’achigan est encore présent avec le brochet et la Doré, vers la fin de son parcours.

La Coaticook

La rivière Coaticook contient trois espèces de salmonidés. La truite brune, que l’on attrape à l’occasion, la truite mouchetée, et particulièrement la truite arc-en-ciel, mais tous font parties d’ensemencements annuel.

La Magog

La rivière Magog est aussi un effluent du petit lac Magog. La Magog renferme de très beaux spécimens d’achigan, mais les pêcheurs y viennent plutôt pour pêcher la truite arc-en-ciel que les gestionnaires de C.H.A.R.M.E.S. ensemencent à tout les ans.  Des ensemencements de 10,000 à 15,000 truites arc-en-ciel et brunes attirent les pêcheurs par centaines, qui en fait un endroit de prédilection.

Ce sont les principales rivières, mais il y en a beaucoup d’autres. Je ne peut pas tous les nommées, car cela ne terminerais pas. C’est à vous aussi de les découvrir.

                                                                                                         Raymond Paris.

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